Que sont les esprits de la nature ?

Les Esprits de la nature en sont les gardiens, les protecteurs, aident à son développement et épanouissement. Ils veillent sur la beauté des fleurs, contribuent au développement des plantes, s’associent au vent, à l’air, au feu, à l’eau et à la terre. L’homme les appelle par bien des noms: fées, elfes, lutins, dévas, dryades, nymphes, ondines, sirènes, faunes, satyres…

Qui sont-ils? D’où viennent-ils ? Que font-ils ? Pourquoi ne les voit-on pas ? …

Les esprits de la nature posent beaucoup de questions. D’où un blog et un livre qui se consacrent à suivre leurs traces. Des traces qui remontent à l’origine des temps. Certains esprits ayant été élevés au rang de dieux par les hommes, les mythologies sont un terrain fertile pour qui veut les approcher. Les contes & légendes en sont un autre. Nombre de récits nous parlent des fées, lutins, elfes. Les folkloristes ont largement recueilli ces récits oraux, ce qui donne à présent une matière considérable à étudier si l’on prend le temps de traverser le monde, pays après pays, région après région… Enfin, les expériences de Findhorn, Perelandra et autres jardins semblables constituent une piste renouant avec les expériences spirites et théosophiques, toutes ces expériences sont une piste supplémentaire pour notre recherche à propos des créatures du Petit Peuple.

La Nature est l’autre mot important. Nous nous sommes attachés ici aux êtres liés aux plantes, aux éléments naturels. En perdant de vue son écosystème, l’homme a oublié les esprits qui l’habitent. En renouant avec ceux-ci, l’homme réapprend à respecter leur travail, ce qu’ils symbolisent et ce qui les représente.

Dès qu’il a pu le faire, l’homme s’est mis à représenter ces êtres, ces esprits de la nature. Ici aussi, nous avons voulu joindre au texte le côté illustration, renouant avec ce besoin de représentation mais sans le travailler seul car sans explication, le dessin se perd un peu, s’offre aux idées de chacun et dans un contexte dénué de croyance, se perd entraînant les Petits êtres avec lui. Les deux, ensemble, côte à côte, peuvent donner une réelle image des esprits de la nature. La vraie question à se poser finalement n’est pas pourquoi on ne les voit pas mais pourquoi on ne les voit plus ? Du moins pourquoi la majorité des gens ne les voit plus, car fort heureusement, beaucoup d’enfants, beaucoup d’âmes positivement naïves, et quelques chanceux, les voient encore.

Ce livre et ce blog tentent donc de répondre à toutes ces questions, de vous donner l’envie de vivre avec les esprits de la nature, de connaître leur cheminement. Un livre d’images, de découvertes, de rencontres, sans aucune volonté d’imposer une quelconque croyance, d’épouser quelque doctrine ésotérique que ce soit, de flirter avec le paranormal ou d’offrir seulement un peu de fiction. Non, un livre qui se veut le résultat de plusieurs années de travail, de patience, de découvertes et de plaisir. Un plaisir des mots et des images, un plaisir de la nature et de la vie. Histoire d’en apprendre un peu plus sur ces merveilleux Esprits de la Nature…

À propos de Richard Ely

Né en 1974, Richard Ely a passé toute son enfance à Ellezelles, village sorcier de Belgique. Très tôt attiré par les mondes de l’étrange, il étudie à l’université les vampires et l’Imaginaire urbain. Il publie alors quelques nouvelles et poèmes en France, en Belgique et au Québec. Il crée ensuite des festivals, salons, expositions et plusieurs revues dont une l’accompagnera dans une belle aventure en kiosque. Tout au long de son chemin bordé de féerie, il croisera la route de trois sorciers qui façonneront son regard sur le monde et marqueront sa vie: Thomas Owen, Pierre Dubois et Claude Seignolle. En 2007, il publie son premier livre sur le monde des fées.. Depuis, il écrit poèmes, contes pour enfants et livres, dont le Grand Livre des Esprits de la Nature (Véga, 2013), tout en vivant la féerie au quotidien en tant que journaliste spécialisé sur le blog http:www.peuple-feerique.com ou dans des balades-nature alliant ses deux passions.

Publié le 16 février 2013, dans Esprits de la nature. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.

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